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samedi 5 mars 2011

Critique film: All's Well, Ends Well 2011

Un présentateur télé d'esthétique (Louis Koo) très éfféminé se fait engagé par une femme qui a acquie comme cadeau d'excuse de son petit ami une société de produit de beauté. Il demande de l'aide auprès d'un de ces anciens camarades classes (Donnie Yen) expert dans le maquillage et l'embéllissement de la femme.

Mon avis: 8,5/10

Chaque année pour le nouvel an Lunaire sort à Hong Kong une comédie. Cette année All's Well, Ends Well édition 2011 réuni deux stars de différents style de film. L'un, Donnie Yen, "imbattable" dans les films d'art martiaux, et l'autre, Louis Koo, (Lilie: mon chouchou depuis que j'ai 12ans!!!) qui excelle dans les comédies et autres thrillers. Donc j'étais très curieuse de les voirs dans un même film surtout Donnie dans un genre dont il n'est pas coutumier. Mais les scénaristes n'ont pas lésiné pour que l'acteur se moque un peu de lui même en s'auto parodiant. Et puis revoir Cecilia Cheung, qui a fait une longue pause dans sa carrière pour se consacrer à sa famille, de nouveau dans un film est un vrai plaisir surtout qu'elle y retrouve un de ces partenaires les plus fréquents qu'est Louis après "The Lion Roars", "Lost In Time", "Fantasia", "Might Baby" et je ne sais quel film que je n'ai pas sité. Voir Louis Koo si "nian nian qian" (éfféminé) me donne des frissons partout pendant la moitié du film même si c'est pas sa meilleure comédie est un vrai plaisir que je savoure.

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